Curric. Vitae ; • activité : Mannequin depuis l'âge de 16 ans, pense reprendre bientôt des études. • situation familiale : Riche, parents divorcés, fraîchement séparé, une demi-soeur et possède un chaton nommée Kitty.
• Informations notables : • Aloïs est d'origine coréenne de son père et italienne de sa mère, elle a toujours vécu à Milan et par le biais de son travail à dû constamment déménager, aujourd'hui elle est en déplacement à Busan pour une campagne publicitaire. • Elle a un accent italien, et parle 6 six langues. • Son père est scientifique à l'orphelinat de Busan. • Elle est végétarienne et très difficile, question nourriture. • Elle chante depuis toute petite, et joue du piano à la perfection. • Elle a la phobie des chiens, et déteste la quasi totalité des animaux. • Elle fait un jogging tout les matins,e t a été cheerleader plus petite. • Aloïs a une mémoire eidétique. | Biography ; J’ai toujours habité à Milan, née dans les quartiers les plus chics, fille de parents friqués. Fille à son papa ou à sa maman ? Pas vraiment non. J’entretiens une relation assez complexe avec mes parents. Certains se plaignent que leurs parents n’acceptent pas le fait qu’ils grandissent, qu’ils continuent toujours à les traiter comme des enfants, moi c’est l’inverse, je leur ai toujours reproché au fond de moi cette distance et cette indépendance qu’ils ont laissé dès le départ. Ma mère n’avait pas prévu mon arrivée donc ma conception fut accidentelle. Ca ne m’étonne pas qu’elle n’ai pas fait d’autre enfant après moi puisqu’elle avait déjà du mal à me caser dans son emploi du temps de procureure un peu trop chargé. Je dirai même qu’elle n’arrivait pas à m’y caser du tout. Elle engageait des personnes pour s’occuper de moi mais les renvoyait dès qu’elle constatait que je m’y attachais un peu trop. Quant à mon père, son boulot de scientifique lui prenait surement quatre vingt dix huit pourcents de son temps. J'avais deux parents rongés par le stress de leur travail et je les regardais se détruire mutuellement, chacun reprochant à l'autre de ne pas m'accorder assez d'importance. Mais ils étaient aussi coupable l'un que l'autre. Je ne manquais de rien matériellement, destinée à faire de brillantes études, dans les universités les plus prestigieuses. J’étais plutôt douée en cours même si mon comportement laissait à désirer.
Droit ou médecine. Chacun essayant de m’influencer à sa façon, mon père et ma mère ne manquaient pas une seule occasion pour faire en sorte que mon choix se porte vers leurs métiers respectifs. C’était comme une sorte de compétition, de quel côté j’allais me ranger en fonction du choix que j’allais faire. Mais je n’avais évidement pas envie de finir comme eux. J’ai finalement opté pour le mannequinat, oui totalement à l’opposé de leurs métiers. Pourquoi ? D’abord pour éviter de leur faire plaisir, mais surtout car ça me plaisait bien. De plus la célébrité m’a toujours intéressé.
Car oui, j’aime réussir mais j’aime surtout gagner. Je pense que les gens me considèrent comme quelqu'un de sociable, peut être un peu trop sans gène, désagréable et méprisante mais j’aime ça. Le moins que l'on puisse dire c'est que je sais ce que je veux, et que la plupart du temps ce que je veux, je l’obtiens, qu'importe le moyen utilisé.
Plus profondément, je suis une personne entière. Je ne passe pas par quatre chemins pour vous faire comprendre ce que je ressens, d’avantage si c’est négative. Dominatrice, je n’aime pas être en position faible et je préférerais m’en aller pour mieux revenir après.
Je suis aussi quelqu’un qui déteste l’ennuie et le troque sans hésitation contre une bonne dose d’adrénaline mais c’est surement car j’ai toujours trainé avec des mecs. Je n’ai jamais réellement apprécié les filles. Sauf quelques exceptions, je les ai toujours trouvé trop sournoises, mauvaises mais surtout vulnérables et pas assez fortes. J’ai du mal à les trouver intéressantes mais je fais souvent en sorte de plus au moins m’entendre avec elle. Non, je ne parle pas comme un mec, je suis juste véridique. Après tout je n’ai jamais dit que je n’étais pas mauvaise... Enfin bref passons.
J’ai été repéré à 13 ans, j’ai très rapidement eu des contacts ensuite tout est allez très vite. Je partais à New-York, Paris, Tokyo ou encore dans ma ville natale Milan. Mon boulot m’a toujours plus, je n’ai pas à me plaindre. Au contraire j’ai eu une enfance plus ou moins radieuse, du travail, de l’argent encore et encore de l’argent.
Niveau sentimentale, j’ai eu des relations plus au moins longues, fusionnels et passionnés, j’ai déjà pleuré pour un mec quand j’étais au collège et surement même au lycée mais ce n’était pas vraiment de l’amour. Je pense que c’étais plus alimenté par le sexe. J’ai apprécié de nombreux garçons, mais ils ont tous finis par me décevoir chacun à leur manière. Et puis je finis souvent par me lasser aussi. Ca vient surement du fait que je suis assez instable. J’aime le changement et la nouveauté, la routine me rend très vite malade. Je tiens énormément à mon indépendance. Du coup, lorsque j’ai le pressentiment que je commence à dépendre de quelqu'un je mets fin à la relation. Je prends énormément de risques tout les jours, pour toutes sortes de conneries, mais ce risque là, jamais. Donc non, je n’ai pas encore trouvé l’âme sœur. Mon type d’âme sœur à moi pour l’instant, c’est un mec marrant avec qui je peux m’amuser au lit. Et comme je m’arrange toujours pour trouver une personne qui à la même vision des choses que moi, on ne fait pas trop de dégâts. Donc oui, j’apprécie les salauds, ils ne sont jamais bien compliqués.
Je me projette rarement dans le futur, vivant surtout au jour le jour. Faut laisser agir ce maudit destin tout seul sans se poser de questions. Mais tout bien réfléchis je me verrai bien actrice dans quelques années ou pourquoi pas rédactrice en chef d’un grand magazine. Aucune idée.
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